Village de vacances du Martinet. Mise au point de Michel SALLES
Vous vous exprimez sur ce blog mis à votre disposition pour dialoguer et apporter votre pierre à l’édifice. La communication est essentielle de nos jours et même les autorités administratives consultent ce support, d’où la nécessité qu’il soit un lieu d’information et non de « défouloir » médiatique.
J’invite donc toutes les personnes désireuses de participer à ce débat de rester courtoise et dans le cadre de la loi qui interdit toute accusation ou diffamation sans preuve formelle.
Vous savez tous que j’ai ouvert ce Blog en 2008 pour la campagne d’une élection municipale. Le titre n’a donc plus de sens au regard de l’utilisation de l’outil pendant ces 6 dernières années mais il a continué à informé sur moult sujets. Je ne voudrais pas devoir le fermer pour des raisons qui n’apportent rien au débat. On peut comprendre la colère d’une décision qui ne nous convient pas mais, de là passer à l’insulte, c’est un pas à ne pas franchir. A chacun de maitriser ses propos sur sa conception des choses dans le calme car la colère reflète plus de la faiblesse que de la crédibilité.
Oui pour continuer à démontrer que la population de St Etienne tient à conserver dans le domaine public un bien acquis et entretenu avec de l’argent public.
Oui pour montrer à nos partenaires de la CC que le choix exprimé majoritairement n’est peut être pas forcément le bon surtout lorsqu’on sait que la « vérité » n’existe pas puisque chacun croit la détenir…..
Oui, on peut comprendre le désarroi, voire la colère, d’une population qui n’a aucune visibilité sur l’avenir de son territoire et plus précisément sur son économie.
Oui on peut se mettre à la place du personnel qui va « pointer » au pole emploi….
Et compte tenu du contexte dans lequel nous nous trouvons, que nous reste t il pour faire entendre notre voix ?
Pourquoi ne pas s’appuyer enfin sur la sagesse et laisser le soin au prochain conseil communautaire de décider ? Certes, cela a été dit et nous avions fait confiance…… Enfin et une fois pour toute, pourrions-nous savoir pourquoi il faut aller si vite ?
Michel SALLES