Michel SALLES fait des propositions....
Michel SALLES
Conseiller municipal
Vice Président de la CC la C
Monsieur le Maire
48330 St
Monsieur le Maire
Je regrette toujours de me mettre devant mon clavier pour t’adresser du courrier ; cette méthode est déplorable entre conseillers municipaux et de plus entre « amis de la commune ».
Notre entrevue de mardi, pour faire avancer les dossiers (route de Droubies, la Fare
Je te rappelle qu’à l’unanimité, le conseil a décidé d’une réunion du conseil tous les mois et le 4 ième mercredi ; le Maire est certes le donneur d’ordre dans la commune mais il est aussi l’exécutant des décisions du CM. Si nous devions changer cette manière de procéder, je demande à ce que le CM se prononce à nouveau.
Je ne reviens pas sur les propositions faites par mon groupe de travailler ensemble ; elles n’ont pas abouti et c’est certes un choix très lourd à porter à ton niveau ; les conséquences fâcheuses sont nombreuses et indirectement négatives pour la commune et la C. C.
Toutefois, tu ne peux pas dire que notre rôle se limite à une opposition systématique ; nous sommes à l’origine de nombreux dossiers et lorsque l’heure des bilans « sonnera » nous pourrons nous en expliquer sereinement à qui voudra l’entendre….
Nous travaillons et nous travaillerons dans l’intérêt général et collectif de la commune et de la C. C..
Si j’ai repris cet historique c’est pour expliquer aussi ma, et notre position au sein de la CC la CC la Cévenne
Sans concertation, mais c’est une fâcheuse habitude entre nous, je me suis présenté comme vice président et élu ; c’est ici que je souhaite mettre les choses au clair car nos guéguerres n’intéressent personne et en aucun cas elles ne doivent pénaliser, perturber ou gêner le travail et le fonctionnement de la CC.
Notre responsabilité est celle de montrer plus de cohérence dans nos actes face à nos partenaires de la communauté de communes.
Le bon sens voudrait que le Vice Président de la C.C. la CC
Cela suppose, entre le Maire et le V-P, une confiance réciproque, une étroite collaboration et enfin la volonté de rompre avec cette habitude de vouloir nous écarter de tout en nous substituant une partie de l’information.
Notre présence dans cette communauté, comme celle du Pays GCC ou du CBE, est capitale pour l’avenir de notre commune et de notre territoire communautaire.
Mon groupe participe à toutes les commissions de la CC
Cette situation m’amène à te proposer un fonctionnement différent de celui pratiqué actuellement car il est indispensable d’être au courant (avec mon groupe) de tous les dossiers qui sont traités au sein de ces instances ; certes le village de vacances mais également la Fare la ZA
Je regrette de faire cette remarque mais l’absence des membres de ton groupe dans bon nombre de ces instances ou aux commissions m’oblige à faire ce constat.
Il n’y avait personne aux réunions de la commission agriculture du 18, ni à l’OPAH, ni aux hameaux durable…je n’ai jamais croisé personne de ton groupe aux réunions et aux commissions du Pays….
Ma démarche fait allusion au mail de Christine sur la ZA
Tu ne peux nier que nous sommes à l’origine de la plupart des projets communautaires et si nous avions un fonctionnement « logique » je pourrais en assurer l’administration et le suivi. Ceci serait dans la logique des choses, plus facile et plus clair pour nos partenaires et pour nous.
Je te rassure, aucune décision ne serait prise sans concertation préalable et chaque dossier ferait l’objet d’un suivi avec compte rendu si nécessaire. Cela montrerait au moins que nous sommes cohérents dans nos visions pour l’avenir de la commune et en phase avec les engagements que nous avons, et que tu as pris, auprès du conseil communautaire.
Mais cela suppose un minimum de confiance et les signes actuels ne vont guère dans ce sens ; toutefois faisons confiance au proverbe qui dit que « l’espoir fait vivre » ….
Ce n’est déjà pas facile de s’intégrer dans une structure organisée ; si en plus on y va avec des voix discordantes c’est franchement nul de notre part et négatif pour la commune.
Dans ce lieu de débat certes, mais aussi de consensus, nos divisions ne peuvent qu’être néfastes et les « petites phrases » de nos partenaires en disent long sur le sujet.
Nous avons maintes fois dit et répété que nous voulions faire avancer nos projets ; il est encore temps d’œuvrer dans ce sens ; pourquoi ne pas trouver enfin la voie de la raison ?
Contrairement à un moment de colère justifié (même si tu m’as expliqué n’y être pour rien) reçois mes salutations.
Michel SALLES
PS : copie est transmise au Président de la CC la C